graziellla & braden ❊ parce que la vérité fini toujours par être dévoilée {-18}

 Je suis dans mon minuscule appartement avec Aydie aujourd’hui, comme Madame a décidé de refaire la chambre de la petite. Enfin, elle a écouté son mari, depuis le temps que lui et moi on lui a dit de changer des choses comme elle devient grande. Je suis en train d’étudier, nous avons passé la journée à jouer et à faire des promenades. Elle n’est jamais fatiguée, mais comme toujours elle s’endort d’un coup. Elle est sur le petit canapé en train de serrer la petite peluche que je lui ai attrapée à la pêche aux canards. J’ai voulu lui faire plaisir, elle est tellement adorable, je rêve d’avoir une fille comme elle. Depuis un an et demi, je joue le rôle de maman et cela me plait surtout pour elle. Elle a besoin d’une personne près d’elle et qu’on lui donne de l’amour. Quand je vois comme sa mère est avec elle, je me dis que je suis celle qui lui faut. Je suis tellement heureuse de travailler pour les O'Byrne, surtout pour Braden enfin Monsieur. Je suis sur mon lit pour travailler, comme je n’ai pas de place pour mettre un bureau. Je recopie mes notes sur un vieux Mac que j’ai acheté, il y a bien longtemps. Je n’ai pas les moyens pour m’en acheter un récent, je me demande comment je ferais pour en acheter un neuf. Je suis en train de terminer mon dernier chapitre quand j’entends qu’on frappe à la porte. Il doit s’agir de Monsieur, il doit venir la chercher, c’est la première fois qu’il vient ici. J’ai peur de sa réaction quand il verra que je vis dans un simple une pièce, il ne voudra plus que je m’occupe de la petite à tous les coups. J’ouvre la porte et je le vois dans un magnifique costume trois pièces. Il est tellement beau, je me mords la lèvre inférieure sourit : « Bonjour Monsieur, entrez la petite est encore en train de faire sa sieste. ».  

J’avais forcé ma femme à refaire la chambre de Aydie, parce qu’elle avait encore celle de bébé et dormait toujours dans son lit à barreaux. Combien de fois ma fille s’est glissée hors de son lit? À plusieurs reprises. Donc aujourd’hui, Grazzi ne pouvait pas garder ma fille chez moi, alors elle est passé la chercher tôt et je lui ai promis de venir la prendre. Je voulais être seul avec Grazzi quelques minutes, je crois que c’est le meilleur endroit pour ça, sans qu’on me voie et qu’on soupçonne quoi que ce soit. Je me rends directement après le boulot chez elle. Je me doute qu’elle ne vit pas dans un appartement de luxe, mais j’étais loin de me douter qu’il n’y avait même pas de chambre. Mais on fait avec nos moyens, mais pourtant, je la paie assez pour qu’elle puisse se payer quelque chose de bien. Je sonne à la porte et elle vient m’ouvrir assez rapidement. Je lui souris. Bonsoir Grazzi… Je t’ai déjà dit de m’appeler Braden, pas monsieur. Ça ne me gêne pas tu sais. J’entre donc. Alors je vais attendre qu’elle se réveille avant de rentrer, ça tombe bien, vu que … je voulais qu’on parle en toute tranquillité toi et moi… tu es sur qu’on ne la réveillera pas? Alors que j’avais affirmé mes pensées, vu qu’elle logeait dans un et demi.

Je suis contente de voir Braden, mais j’ai tellement de mal à l’appeler comme ça en face. Encore plus depuis ces six derniers mois, nous avons échangé un baiser. Oui, mais depuis il n’en a pas reparlé en même temps, moi non plus. Je pense que si cela bien de moi cela peut-être mal placé, je suis son employée. Je le regarde dans les yeux et je sais que je rougis, c’est toujours comme ça quand je lui adresse la parole. Je lui fais un petit sourire, c’est la première fois qu’il vient chez moi, il doit se demander ce que je fais dans ce genre d’immeuble, j’ai choisi un appartement comme ça pour aider mes parents à payer la fin du crédit pour mes études, c’est un juste retour des choses. Ils m’ont payé des études pour que je sois la meilleure, je fais mon possible pour en les aidant et aussi en etant une bonne élève. Je passe une main dans mes cheveux et lui dit : « Oui Monsieur … enfin Braden elle dort à point fermé. Il y a un problème avec mon travail c’est ça ? ». Je fais mon possible pour être une bonne nourrice et aussi dans toutes les tâches que Madame peut me donner à faire. C’est une patronne très exigeante en comparaison à Braden. Je lui montre la direction de ma minuscule cuisine où trônait peu de choses. Je le regarde nerveuse comme toujours quand nous sommes que tous les deux dans une pièce.   

Je regarde ma fille endormie à point fermé sur le lit de Grazzi, je souris et je suis la nourrice dans sa minuscule cuisine. Son appartement avait quand même son charme, quoique trop petit pour moi. Il n’y avait aucun problème avec son boulot, elle était parfaite même. Je crois qu’il était juste temps de repenser à ce baiser. Mais je ne savais pas comment aborder le sujet, ça fait quand même six mois de cela. Et si elle avait oublié? Et si je lui plaisais pas? Et puis, pour elle, je suis marié, il n’y avait peut être pas de raison à en reparler à son avis. Pourtant, je n’aimais pas ma femme, je ne l’ai même jamais aimé et c’était réciproque de son côté. On était ensemble que parce que nos pères l’avaient voulu. En ce moment, je ressentais quelque chose de bien envers une femme pour la première fois de ma vie. J’étais amoureux. Je m’approche donc d’elle, un peu plus près et je viens l’embrasser, capturant sa lèvre inférieure entre les miennes, y passant ma langue, posant ma main sur sa joue et je lui demande un vrai baiser. Mon front vient se poser contre le sien ensuite, cessant le baiser. Dis-moi que tu me veux toi aussi… dis-moi que tu ressens la même chose pour moi… que ça papillonne dans ton bas ventre quand tu me vois. Que ta colonne frémit quand je te touche… dis-moi que tu veux que je sois ton prince charmant. Lui dis-je tout bas, caressant sa joue.

Je regarde cet homme pour qui mon cœur bat depuis un peu plus d’un an et demi. Je sais qu’il est marié et père de famille. Mais mon cerveau et mon cœur s’en fichent complètement. Nous avons échangé un baiser, il y a six mois. Depuis je ne cesse d’y penser jour et nuit. Et quand je suis seule avec lui dans une pièce, je me sens tellement bien mais aussi oppressée. Parce que je sens quelque chose pour lui, nous avons peut-être vingt ans de différence. Mais je m’en fous l’amour n’a pas d’âge ni de conditions sociales. Quand il s’approche de moi, je sens que mon cœur va exploser.
Je lui fais un petit sourire en coin puis je sens ses lèvres capturées ma lèvres inférieure. Je sens sa langue, sa bouche qui me demande un véritable baiser. Je sens mon cœur se gonfler d’amour et de désir pour cet homme que je veux pour moi seule. Sa main caresse ma joue qui brûle d’amour et de passion. Nos fronts se touchent. Je me sens tellement bien avec lui. J’écoute ses paroles qui sont ce que je ressens pour lui. Je caresse sa joue et je lui dit : « Oui je ressens pareil … Oui je te veux pour moi seule … Oui j’ai des papillons dans mon bas ventre et mon estomac quand je suis en ta présence … Je ne peux plus rien contrôler quand je suis avec toi. Je frémis quand tu me touches. Oui tu es mon Prince Charmant.». Je lui dis tout ça en chuchotant. Je l’embrasse doucement avec tendresse et le regarde dans les yeux.

Je l’écoute m'affirmer mes dires, mes pensés et ce que je désirais plus que tout d’elle. Je souris, je rougis et je viens l’embrasser à nouveau. Alors on ressent la même chose… Je pose mon front contre le sien. Je l’aimais, j’étais amoureux d’elle. J’étais même amoureux pour la première fois de ma vie. Mon bas ventre me faisait sentir des papillons. Si ce n’était pas de Aydie qui dormait sur le lit, je la prendrais là, maintenant sur le comptoir de sa minuscule cuisine. Pensée perverse oui, mais pour la première fois de ma vie, j’avais réellement envie de faire l’amour avec une femme, je ne voyais plus cet acte comme une corvée. Grazzi était celle pour qui je voulais faire l’amour et non faire mon devoir conjugale de marié à sa femme. Tu es si belle, si tu savais. Si attentionnée et gentille. Je caresse sa joue et frotte ma tempe à la sienne. J’entrelace mes doigts aux siens, de nos deux mains, les passant au dessus de sa tête. Dis moi que tu m’aimes aussi. Dis moi que tu me veux toi aussi. Je plonge mon regard dans le sien.

Je regarde cet homme pour qui j’ai des sentiments depuis un an et demi. Je suis toute rouge quand je le regarde. Je ressens tellement de papillons dans mon bas ventre et je lui dis : « Oui on ressent pareil et depuis presque un an et demi … ». Je baisse le regard et je rougis, je me sens tellement bien avec lui. Je suis amoureuse plus que jamais de cet homme qui est aussi mon patron, je sais que notre amour sera secret comme c’est un homme marié et père de famille. C’est la première fois que je ressens cela pour un homme. Je passe mes mains dans les cheveux de Braden, je sais qu’il ne va rien me dire. Il est tellement beau je me sens tellement bien avec lui. Il me dit que je suis belle, mais je ne sais pas comme je suis belle. Je suis tellement complexée par mon corps, je me mets à rougir et lui dit : « Je suis une femme tellement banale. Toi tu es tellement beau, gentil et un père de famille attentionné et tellement parfait. ».Je sens nos mains s’enlacées et elles sont au-dessus de moi. Je suis maintenant contre le plan de travail, je sens son corps contre moi. Je me mords la lèvre inférieure et lui dit : « Je veux de toi dans ma vie. Je veux aussi prendre soin d’Aydie … Oui je t’aime … ». J’ai le souffle coupé, je ressens une étrange sensation dans mon corps, j’ai envie de lui.

Je souris en coin, de mon sourire dragueur quand elle m'affirme mes dires. J'étais fou amoureux pour la première fois de ma vie. Ma femme, ce n'était qu'une couverture pour mon père de la paix faite avec son concurrent, une sorte d'association avec le père de Allie. Graziella est celle que j'aime, malgré nos 20 ans de différences. Mais elle est la femme parfaite pour une vie de famille. elle est jeune et capable de me donner une famille digne de mon nom. Je rougis et je viens baiser le creux de son cou, humant sa douce odeur. Je la soulève pour l'asseoir sur le comptoir et me placer entre ses jambes. Au diable mes convictions ! Je plonge ma main sous son haut pour caresser son ventre du bout de mes doigts et je viens chercher ses lèvres à nouveau. Laisse toi aller... ne me refuse pas, alors que tu me sais marié et que je m'apprête à être infidèle à ma femme... avec toi... Je viens chercher sa langue de la mienne pour mélanger nos salives ensemble, tout en déboutonnant mon pantalon.

Je regarde Braden, je sais qu’il a 20 ans de plus que moi et alors ? je me fichais des conventions et du fait qu’il soit marié et père de famille. Nous sommes attirés comme deux aimants, je me mords la lèvre inférieure. Je sais que ma première fois ne va pas être conventionnelle, mais je m’en fous aussi. Il y a que lui et moi qui compte. Je commence à rougir, je sens sa peau me frôler et son souffle sur mon corps. Quand je sens sa main sur mon bas ventre, je ne connais pas comment réagir. Il se passe quelque chose que je ne peux pas contrôler. Je sens du désir pour la première fois de ma vie. Je caresse sa joue et lui sourit. Je suis amoureuse de lui depuis longtemps. Je défais sa veste et lui sourit. Je porte une robe mi-cuisses noire avec des talons. C’est la première fois que je porte ce genre de choses. Je me suis faite belle pour lui. Je sens mes pulsations cardiaques augmenter. Je lui dis : « Moi aussi j’ai envie de toi … Tu vas être le premier homme à qui je me donne Braden … »  

Elle était vierge, je souris en coin, s'était encore plus excitant d'être son premier. Elle allait gouter au sexe, pour la première fois avec un homme d'expérience. Un honneur. Je caresse sa joue, j'en sors que mon engin de mon pantalon, sans le baisser, j'ai trop peur que ma fille se réveille et que je n'ai pas le temps de me rhabiller. Je viens glisser ma main sous sa jupe et dans sa culotte, pour venir lui faire gouter les joies de la caresse intime. Je baise son cou. Alors, laisse-toi aller, je serais doux pour cette première fois. Je lui retire son haut pour venir caresser ses seins et ses courbes. Sa peau était si douce, elle était pure à mes yeux. Je baisse mon pantalon en dessous de mes fesses et je la rapproche à moi et je viens doucement frotter mon bout contre son bouton. Je me mords la lèvre. Je n'ai jamais eu autant envie de faire l'amour avec une femme. Ça toujours été une corvée pour moi avec ma femme. Je n'avais jamais eu de plaisir à le faire avec elle.

Je regarde cet homme à qui je vais donner ma virginité, je me sens un peu confuse. Je ne sais pas si je vais arriver à le satisfaire. Je me sens tellement bien avec lui, c’est pour ça que je veux lui donner ma virginité et mon corps. Je sais qu’il sera sans doute l’unique homme de ma vie, je me mords la lèvre inférieure et je lui souris. Je le regarde se déshabiller, il est tellement séduisant. Je passe mes mains dans ses cheveux et je lui dis : « Tu es tellement beau Braden, je me sens tellement bien avec toi. ».  Quand je sens sa main dans mon intimité, je me sens humide tellement différente, jamais un homme ne m’a fait de telles sensations. Je le regarde et l’embrasse langoureusement en passant mes mains dans sa nuque. Il m’a demandé de me laisser aller, je lui fais confiance et souris. Quand il commence à me déshabiller je me mets à frissonner et défait sa veste puis sa chemise. Cette situation est tellement excitante. Il est tellement beau, j’ai envie de lui depuis qu’on s’est embrassé dans sa cuisine il y a six mois. Je le laisse faire et sourit, je serais une femme différente dans pas longtemps. Je vais connaître le plaisir charnel avec cet homme dont je suis amoureuse plus que jamais.   

J'avais peur de lui faire mal, je sais très bien qu'elle ressentira la douleur quand je briserai sa barrière, mais je saurais la rassurer. Je caresse ses côtes et je viens lui retirer son haut et puis défaire sa culotte. Elle était déjà toute humide. Je souris en coin. Je viens l'embrasser. Tu es si belle aussi. Je vais être doux, je vais te rassurer. Je place mon membre durci à son entrer, lui soulevant une jambe, je m'insère doucement et je m'arrête juste avant de briser sa barrière. Je caresse sa joue, je pose mon front contre le sien, mes yeux dans les siens et puis je finis mon insertion, déchirant sa virginité. Je t'aime. Je l'embrasse pour lui faire oublier la douleur et je commence un élancement en elle, me retirant ensuite, pour la laisser s'habituer à la douleur et à cette première fois. Je caresse sa joue, et souris.

Je regarde cet homme que j’aime et avec qui je vais perdre ma virginité. J’ai un peur, mais je sais qu’il va tout faire pour que je n’ai pas trop mal. Je prolonge son baiser en demandant accès à sa langue. C’est la première fois que je fais ce genre de choses. Son amour me donne des ailes, je deviens un papillon. Je ne suis plus cette chrysalide, il me rend belle. Quand je sens son membre brisé cette membrane qui a fait de moi une enfant jusqu’à maintenant. Je mord ma lèvre inférieure. Sa bouche me dévore à nouveau, je suis tellement heureuse. Je lui répond : « Moi aussi je t’aime Braden. ». Je le regarde dans les yeux et je le sens continuer ses coups de reins intenses. Je commence à me cambrer et à me sentir fiévreuse tellement le désir est intense entre nous.

Elle était si serrer autour de ma verge. Je la sentais parfaitement à chacun de mes coups de reins. Je l'embrasse avidement, caressant ses hanches, son seins, baisant son cou. Je me colle à elle, elle toujours assise sur le comptoir. J'étais si gonflé en elle. C'est la première fois que je fais l'amour avec amour, que j'aime le faire. Tu es si parfaite. Je continue mes caresses à son corps. Je continue mes coups de reins en elle, pour aller d'une douceur, à une intensité rapide. J'embrasse sa tempe. Je me retire avant de jouir en elle. Pour enfiler un préservatif. Oui j'avais eu cette intention de m'unir à elle ce soir. Je reviens en elle pour poursuivre notre union. Je veux t'entendre jouir pour moi et je jouirai pour toi aussi, mon ange.

Je suis en train de le sentir s’unir à moi, c’est la première fois que je ressens du désir pour un homme. Je me demande comment j’ai pu passer à côté de ça depuis tellement de temps, c’est si agréable. Sans le vouloir, je fais échapper des petits cris de ma bouche. Je le regarde et lui dis : « C’est tellement bon Braden, si agréable. Tu es tellement beau et tellement doux, je te veux depuis tellement de temps si tu savais. ». Je frisonne quand il m’embrasse la tempe, je le regarde enfiler un préservatif. Je le regarde en me mordant la lèvre inférieure. Je ferme mes yeux pour profiter de ses coups de reins. Je l’embrasse amoureusement et je me tiens à lui. Je laisse échapper des gémissements de plaisir. C’est la première fois que je fais échapper ce genre de cris de ma bouche.